vendredi 27 juin 2014

Lutte contre la pauvreté: Des femmes témoignent leur reconnaissance à Dominique Ouattara

Dominique Nouvian
Gbané Awa, commerçante depuis quelques années veut agrandir son business. Ayant appris l’existence d’un fonds mis en place par Mme Dominique Ouattara  pour financer les microprojets des femmes,  Gbané Awa va entreprendre des démarches à l’instar de millier d’ivoiriennes auprès d’une micro-finance partenaire du projet à Abidjan.  «J’ai un dépôt de crème star, et je souhaite étendre cette activité. Avec ce fonds important que Mme Dominique Ouattara vient de mettre à notre disposition; je compte en profiter pour mettre en place d’autres activités génératrices de revenus », partage-t-elle.  Elle ne fait pas la langue de bois sur ces projets.
 De la vente des sachets de crème, Mme Gbané veut explorer d’autres commerces. « Moi,  Je souhaite faire du commerce de pagnes ou vivriers. Je suis très contente et je remercie la Première Dame de m’avoir honoré ».  Comme Mme Gbané Awa, des milliers de femmes aujourd’hui, ont bénéficié du Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI). Ce vaste programme de financement des micro-projets  mis en place en 2012 par la Première Dame ivoirienne, Mme Dominique Ouattara. L’objectif de ce programme est naturellement de lutter contre la pauvreté au niveau des cellules familiales, l’unité de base de la société.  Mme Dominique Ouattara a toujours partagé la conviction que la lutte contre la pauvreté en Afrique en général et en Côte d’Ivoire, en particulier ne peut être effective qu’en passant par les femmes.  Ces dernières d’ailleurs n’ont jamais cessé de lui témoigner leur infinie reconnaissance.  Pour Mme Kaba Aminata, épouse Cissé, Présidente de l’Association Toïba,  le FAFCI est l’alternative  idéale  dans la lutte contre la pauvreté pour les femmes de Côte d’Ivoire. « Le FAFCI est un très bon projet. Outre le taux d’intérêt insignifiant de 1 % ; ce qui est aussi intéressant dans ce projet, c’est qu’il renferme un programme qui vise à former les femmes sur le planning familial ; à alphabétiser les femmes bénéficiaires. Cela permettra à ces femmes de connaître leurs droits mais aussi, leurs devoirs, vis-à-vis de leur cellule familiale et de la société. Sincèrement, je salue ce projet de micro-finance de Mme Dominique Ouattara.  Cependant, je propose que le programme formation des femmes vienne avant l’octroi des prêts, c’est très important. Car, le problème de la réalisation des femmes en général, se situe à ce niveau. Je remercie la Première Dame de la république de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara, ainsi que tous les partenaires du FAFCI ». Mme Pone Lou ne dit pas autre chose. Pour cette mère de famille, le FAFCI permettra à coup sûr aux femmes de s’occuper de leur famille frappée de plein fouet par la crise économique.  Pour cette dernière, Dominique Ouattara, en tant que Première Dame est la mère de toutes les ivoiriennes. «  Je très contente parce que depuis très longtemps, les femmes qui travaillent dans le vivrier souffrent. Le projet FAFCI va nous permettre de mieux nous occuper de nos familles. A vrai dire, Mme Dominique Ouattara est notre mère à toutes. En effet, chez nous, il y a un proverbe qui dit que dans  la vie, la femme qui t’aide est celle qui est ta véritable mère. C’est pourquoi, je dis que Mme Dominique Ouattara est, la mère de toutes les femmes de Côte d’Ivoire ; n’est-ce pas que ce projet qu’elle vient de mettre en place, vise à aider les femmes de Côte d’Ivoire à sortir de la pauvreté. Je voudrais lui dire de continuer à œuvrer dans cette voie. Ce geste à l’endroit des femmes de Côte d’Ivoire me touche », a-t-elle remercié.  Irié Lou Colette, Présidente du Conseil d’Administration (PCA) de la Fédération Nationale des Coopératives du Vivrier de Côte d’Ivoire (FENACOVICI) salut  la confiance que la Première Dame, Dominique Ouattara place aux femmes de Côte d’Ivoire.  «Ma joie est tellement grande. C’est un rêve qui vient d’être réalisé. C’est pourquoi, nous comptons tout mettre en œuvre, afin de pouvoir honorer cette confiance que la Première de Côte d’Ivoire, Mme Dominique Ouattara a placé en nous. Sincèrement, les femmes de Côte d’Ivoire sont sauvées. Dans l’histoire de notre pays, c’est la première fois que nous avons un financement avec un taux d’intérêt de 1 %. C’est un projet qui vient mettre fin à la pauvreté des femmes de Côte d’Ivoire » a espéré la PCA de la FENACOVICI. 
Nul doute que le FAFCI  est l’une des meilleures alternatives aujourd’hui, en Côte d’Ivoire contre la pauvreté des populations. 

Dominique Folloroux


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